Effet de genre
Au travail aussi, le sida touche plus les hommes que les femmes.
Dans le monde, moins de femmes que d’hommes travaillent.
Dans certains pays d’Afrique subsaharienne, les femmes sont déjà plus touchées que les hommes par l’épidémie de sida. Par exemple, au Cameroun, il y a 170 femmes touchées pour 100 hommes.
La combinaison de ces deux facteurs permet de redouter que, dans les années qui viennent, on trouve de moins en moins de femmes au travail dans les pays en voie de développement.
Or on sait que moins les femmes travaillent, plus elles sont économiquement dépendantes. Leur droits et libertés sont diminués.
De plus, de nombreux foyers africains vivent uniquement sur les revenus d’une mère célibataire. Moins de femmes au travail, c’est plus de pauvreté globale.
Ainsi, parmi les facteurs habituellement pris en compte quand on essaye d’apprécier les conséquences de l’épidémie de sida sur l’économie, il conviendrait de prendre en compte la disproportion de l’infection selon les genres.
Dans le monde, moins de femmes que d’hommes travaillent.
Dans certains pays d’Afrique subsaharienne, les femmes sont déjà plus touchées que les hommes par l’épidémie de sida. Par exemple, au Cameroun, il y a 170 femmes touchées pour 100 hommes.
La combinaison de ces deux facteurs permet de redouter que, dans les années qui viennent, on trouve de moins en moins de femmes au travail dans les pays en voie de développement.
Or on sait que moins les femmes travaillent, plus elles sont économiquement dépendantes. Leur droits et libertés sont diminués.
De plus, de nombreux foyers africains vivent uniquement sur les revenus d’une mère célibataire. Moins de femmes au travail, c’est plus de pauvreté globale.
Ainsi, parmi les facteurs habituellement pris en compte quand on essaye d’apprécier les conséquences de l’épidémie de sida sur l’économie, il conviendrait de prendre en compte la disproportion de l’infection selon les genres.
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